Rentrée scolaire :Les 9 choses à éviter pour ne pas foutre la honte à vos enfants

1. Les photos paparazzi devant le portail

Votre enfant n’est pas Beyoncé. Trois photos max, pas 45 sous tous les angles. Et surtout : pas de “Allez, un petit sourire pour maman !” façon cri de stade. Sinon, vous venez de créer un scandale public et traumatisant pour la rentrée.

2. Le cartable taille XXL le jour de la rentrée scolaire

Rappel : c’est la rentrée, pas un trek dans l’Himalaya. Si votre progéniture disparaît derrière son sac, vous avez officiellement raté votre mission.

3. Les tenues trop "stylées"… pour vous

Venir déposer votre enfant en pyjamas ou en survêt fluo “parce que c’est confortable” ? Mauvaise idée. Souvenez-vous : la star aujourd’hui, c’est lui, pas vous.

4. Le discours d’encouragement façon coach sportif

“Tu peux le faire, mon champion ! Vise l’excellence !”… Stop. C’est une rentrée, pas la finale de Roland-Garros.

5. L’odeur suspecte du goûter

Une banane un peu trop mûre dans le sac ? Boom. Votre enfant devient “le type qui sent la banane depuis la maternelle”. Mission discrétion échouée, réputation compromise, et bonus : il devra justifier son parfum aux copains.

6. Larmes et mouchoirs théâtraux

Une petite larme discrète, passe encore. Mais s’effondrer comme dans une telenovela mexicaine ? Non. Votre enfant ne se remettra jamais de ce traumatisme public.

7. Le cri d’amour trop bruyant

“Bonne rentrééééééééé mon bébé d’amour !” (avec en bonus le bisou claquant devant les copains). Interdit. Répétez après moi : la discrétion, c’est la clé.

8. Le sac surprise de fournitures "originales"

Un stylo licorne qui fait des bruits de paillettes ? Une règle fluo avec les Minions qui chantent ? Votre enfant vous en voudra jusqu’à Noël.

9. Les révélations intimes devant la maîtresse

“Ah oui, il a encore du mal à dormir sans sa veilleuse Cars !”Merci, maman. Merci pour la réputation.

Rentrée scolaire, c’est une mission commando : rapide, discrète et sans laisser de traces. Le but ? Que votre enfant entre en classe tranquille, sans avoir à rougir de vous. Parce qu’au fond, le vrai challenge, c’est qu’il n’ait pas envie de dire : “Euh… je ne connais pas cette personne.”